Ouvrages

Iván López Cabello et Yves Roullière (éd.), José Bergamín et la France. Actes de la journée d’étude réalisée à Nanterre le 23 mai 2008 ; suivi de Entretiens avec un fantôme. Les confidences de l’écrivain espagnol José Bergamín recueillies par André Camp, Nanterre : Université Paris Ouest Nanterre La Défense, Collection Regards, nº 16, 2011, 262 p.

L’étroite relation qu’a entretenue José Bergamín (1895- 1983) avec la France est ici abordée pour la première fois : depuis sa francophilie quasi « native » avec son institutrice française jusqu’à l’exil au Pays basque, à la frontière française. Plus que la plupart des écrivains de sa génération, Bergamín peut être considéré comme un afrancesado, mais, à la manière de son maître Manuel de Falla, sa francophilie l’aidera à mieux cerner l’irréductible singularité du peuple espagnol.

Ce volume contient les actes de la journée d’étude « José Bergamín et la France » (Nanterre, 23 mai 2008), avec les interventions de Ginevra Bompiani, Jean Canavaggio, Marie-Claude Chaput, Roselyne Chenu, Florence Delay, Nigel Dennis, Iván López Cabello, Julio Pérez Serrano, Joaquín Piñeiro Blanca, Yves Roullière, Bernard Sicot, Ana Vázquez de Parga. Ces actes sont suivis de la transcription d’un long entretien radiophonique que José Bergamín accorda en français à André Camp en 1965.

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La revue électronique Publilije de l’Université du Maine-Le Mans consacre dans son volume 2 un dossier aux « Pratiques et réceptions latino-américaines des genres brefs » avec des travaux sur Eduardo Berti, Juana de Ibarbourou et Piri Thomas.

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Maricruz Castro Ricalde & Marie-Agnès Palaisi-Robert (Coordinadoras, )Narradoras mexicanas y argentinas (Siglos XX-XXI), Antología crítica, Ed. Mare & Martin, Paris, Collection Llama, 2011.

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Milquet Sophie et Frédéric Madeleine (coord.), Femmes en guerres, Editions de l’Université de Bruxelles, coll. « Sextant », n°28, 2011.

La guerre est habituellement considérée comme une affaire d’hommes, où les femmes n’occuperaient que des rôles secondaires. Bien qu’actrices et témoins de l’histoire, elles voient en permanence leur expérience dévalorisée.

Pourtant, face à l’ampleur des conflits des 19 et 20èmes siècles, c’est l’ensemble de la population qui a été touché. Les femmes s’étant mobilisées de diverses manières, il apparaît important de promouvoir une lecture du phénomène guerrier selon le prisme du genre. Cet ouvrage s’inscrit dans cette perspective. En rassemblant des contributions d’historiens et de littéraires, il décrit tant la complexité des expériences féminines de guerre que leurs représentations dans la littérature.

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