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Ambigüité / ambivalence (syntaxique, sémantique ou énonciative) en linguistique Télécharger au format iCal
 

Appel à communications pour un colloque de linguistique organisé à l’Université de Toulon les 27 et 28 novembre 2025.

Avec le soutien du laboratoire Babel (EA 2649) de l’Université de Toulon et de l'Association des Linguistes Anglicistes de l’Enseignement Supérieur (ALAES).

Convocatoria Congreso de lingüística organizado en la universidad de Tolón (Francia) los días 27 y 28 de noviembre de 2025.

Con el apoyo del laboratorio Babel (EA 2649) de la Universidad de Toulon y de la Association des Linguistes Anglicistes de l'Enseignement Supérieur (ALAES).

 

Comité organisateur / Organising committee / Comité organizador

Bénédicte Guillaume, Élise Mathurin, Michèle Monte, Vanessa Saint-Martin

Université de Toulon

Comité scientifique / Scientific committee / Comité científico

Audrey Coussy (McGill University)

Barbara Dancygier (University of British Columbia)

Antin Fougner Rydning (Universitetet i Oslo)

Laure Gardelle (Université Grenoble-Alpes)

María Isabel González-Rey (Universidad de Santiago de Compostela)

Michelle Lecolle (Sorbonne Nouvelle)

Laëtitia Leonarduzzi (Université d’Aix-Marseille)

Natalia López-Cortés (Universidad de Zaragoza)

Blandine Pennec (Université Toulouse II – Jean Jaurès)

Myriam Ponge (Université Paris 8)

Fabio Reggatin (Università degli Studi di Udine)

Corinne Rossari (Université de Neuchâtel)

Pascale Roux (Université Lumière Lyon 2)

Mohamed Saki (Université de Bretagne Occidentale)

Martine Sekali (Université de Nanterre)

Denis Vigier (Université Lumière Lyon 2)

Esme Winter-Froemel (Universität Würtzburg)

Ambigüité / ambivalence (syntaxique, sémantique ou énonciative) en linguistique.

 

Véase más abajo la versión en español.

L’ambigüité est un concept productif en linguistique, et ferait même « partie intégrante du modèle » selon A. Culioli ([1973] 1999 : 48). Ce terme, utilisé aussi dans le langage courant et la vie quotidienne, correspond à une « intuition fondamentale [selon laquelle] quelque chose de double se dissimule sous une apparence d’unicité » (Le Goffic, 1982 : 83 - 84). Si la polysémie de certains morphèmes lexicaux ou grammaticaux engendre facilement l’ambigüité (« le secrétaire est dans le bureau », exemple emprunté à Dubois et al. 1999 : 31), cette dernière peut également se situer au niveau de la proposition et, partant, de la phrase, lorsqu’un agencement de marqueurs se prête à plusieurs interprétations : l’ambigüité syntaxique se double dès lors d’une ambigüité sémantique.

Néanmoins, la plupart du temps, le recours à un contexte plus fourni, ou bien l’examen plus approfondi d’autres marques grammaticales ou énonciatives présentes dans l’énoncé permettent de lever l’ambigüité. En effet, de tels phénomènes engagent crucialement le rapport entre les formes linguistiques et le co(n)texte, qu’il revient au linguiste d’analyser.

Il existe toutefois des cas dans lesquels il n’est pas possible de désambigüiser, et d’opter avec certitude pour une catégorie plutôt qu’une autre, dans la mesure où les indices syntaxiques ne sont pas assez parlants ou donnent des résultats contradictoires, tandis que le recours au contexte n'est pas suffisant pour éliminer l'ambigüité. Or, les linguistes ont souvent été inspirés par ces phénomènes inclassables : on pense à la « théorie du reste » de Jean-Jacques Lecercle. Il peut aussi être question, en se fondant  sur une métaphore biologique, d’exemples  de phénomènes « hybrides » (cf. Guillaume 2014). P. Le Goffic (1982) a pour sa part recours au concept d’« ambivalence », terme à l’origine utilisé en psychanalyse pour qualifier des états psychiques contradictoires. Pour Catherine Fuchs (1995), l’ambivalence est une forme de transgression ne pouvant se produire qu’en discours, à la différence de l’ambigüité, qui serait propre à la langue. On retrouve dans « ambivalence » la même racine latine ambo signifiant « (les) deux à la fois » (CNRTL) que dans « ambigüité », mais il semble toutefois que l’on va plus loin dans la complexité, avec des phénomènes plus hétérogènes et non réductibles à une seule signification. Dérive inévitable de l’indétermination de la langue ou produit de la stratégie discursive du locuteur, des « zones troubles » (Le Goffic 1982 : 83) sont ainsi générées, qu’il incombe à l’interlocuteur de démêler. Face à un idéal de non-équivocité, l’ambivalence comme l’ambigüité peuvent ainsi représenter un danger. Le risque accru de malentendus nous invite alors à nous questionner sur la dimension éthique de l’utilisation de ces formes duplices.

Michel Ballard (1990 :153) avance « [qu’]à première vue, […] l’ambigüité [es]t un problème qui passionne davantage les linguistes, les stylisticiens ou les philosophes que les traductologues. » Une approche traductologique de l’ambigüité et/ou de l’ambivalence n’est pourtant pas à exclure. Face à l’ambigüité, il est nécessaire pour le traducteur de faire des choix. Lorsqu’elle est intentionnelle, l’ambigüité doit être conservée. À l’inverse, les cas d’ambigüités fortuites se doivent d’être levés (Rydning 1998). Par ailleurs, en traduction automatique, les outils actuels, de plus en plus performants, réussissent généralement à éviter les cas d’ambigüité. Cependant, l’étape de relecture et de post-édition reste le plus souvent indispensable.

Sans exclure des approches essentiellement théoriques, ce colloque entend soumettre les concepts d’ambivalence et d’ambigüité à l’épreuve des corpus afin d’en évaluer la portée et les limites en contexte. Par conséquent, il s’agira d’appréhender les cas de dualité interprétative au sein de corpus d’étude variés, oraux ou écrits. Ceux-ci pourront être de nature diverse – publicité, littérature, discours politique, presse, communication médiée par ordinateur, données lexicographiques, etc. –, permettant ainsi une exploration étendue et transversale de ces phénomènes. Les langues à privilégier seront le français, l’anglais et l’espagnol, mais d’autres langues et d’autres familles de langues que celles-ci peuvent également être convoquées.

Les propositions pourront s’articuler, de manière indicative et non limitative, autour des divers axes évoqués dans cet appel, notamment :

- définitions et effets de l’ambigüité et de l’ambivalence, rôle de la polysémie et du contexte ; dans quels cas les relations entre valeur d’un morphème et contexte permettent-elles de définir les conditions favorables à une interprétation en termes d’ambivalence ?

- le vague référentiel est-il nécessairement ambigu ? par exemple, en ce qui concerne les problèmes de délimitation du référent (pronom de première personne du pluriel en français - cf. Monte 2022 -, omission du pronom personnel sujet en espagnol…).

- quels sont les effets possibles du dédoublement d’interprétations d’un même énoncé, pouvant être compatibles et finissant par s’amalgamer, ou bien se révélant incompatibles, mais dans le même temps impossibles à départager ?

- sur le plan énonciatif, dans le champ du discours représenté, à quelles conditions les formes complexes de représentation du discours autre (Authiez-Revuz 2020) sont-elles source d’ambigüité ? L’on ne sait dans certains cas qui parle, et les attributions à deux sources énonciatives différentes sont parfois incompatibles, et parfois ambivalentes – la superposition des voix ou points de vue portés par les énoncés représentés faisant alors partie des ressources déployées par le locuteur/énonciateur premier (Germoni et Stolz 2019). Et que devient alors, dans la structure narrative globale, la répartition entre narration, dialogues et pensées ?

- en traduction, est-il toujours possible d’évaluer le caractère intentionnel ou fortuit de l’ambigüité ? Quelle(s) incidence(s) la conservation ou non de l’ambigüité et/ou de l’ambivalence peuvent-elles avoir ? La question de cas intraduisibles ou d’échecs de traduction pourra également être étudiée.

Modalités de soumission et calendrier :

- proposition de communication anonyme (une à deux pages maximum, comportant le titre de la communication, un résumé, quelques références bibliographiques) à envoyer avant le 15 janvier 2025 en format Word et / ou pdf à l’adresse suivante :

Merci d’indiquer clairement le nom et l’affiliation de l’auteur ou des auteurs dans le corps du courriel.

- réponse aux auteurs : au plus tard le 30 mars 2025

- 27 et 28 novembre 2025 : colloque à l’Université de Toulon

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Ambigüedad/ambivalencia (sintáctica, semántica o enunciativa) en lingüística.

La ambigüedad es un concepto provechoso en lingüística, y formaría incluso “parte integrante del modelo”, según A. Culioli ([1973] 1999: 48). Este término, también utilizado en el lenguaje corriente y la vida cotidiana, corresponde a la “intuición fundamental [de que] algo doble se oculta bajo una apariencia de unicidad” (Le Goffic, 1982: 83 - 84). Si la polisemia de algunos morfemas lexicales o gramaticales suele generar ambigüedad, esta puede situarse asimismo a nivel de la proposición y, por lo tanto, de la frase, cuando una configuración de marcadores se presta a varias interpretaciones: la ambigüedad sintáctica se acompaña entonces de una ambigüedad semántica.

Sin embargo, la mayoría de las veces, el recurso a un contexto más riguroso, o el examen más profundo de otras marcas gramaticales o enunciativas presentes en el enunciado permiten eliminar la ambigüedad. De hecho, tales fenómenos implican necesariamente la relación entre las formas lingüísticas y el co(n)texto, que le corresponde al lingüista analizar.

Aun así, hay casos en los que no es posible desambiguar la secuencia y optar con certeza por una categoría en vez de otra, en la medida en que los indicios sintácticos no son suficientemente significativos o dan resultados contradictorios y el contexto no basta para descartar la ambigüedad. Ahora bien, los lingüistas se suelen inspirar en estos fenómenos inclasificables: podemos pensar en la “teoría del resto” de Jean-Jacques Lecercle. Sobre la base de una metáfora biológica, puede tratarse también de ejemplos de fenómenos “híbridos” (cf. Guillaume 2014). Por su parte, P. Le Goffic (1982) acude al concepto de “ambivalencia” originalmente utilizado en las teorías psicoanalíticas para designar estados psíquicos contradictorios. Según Catherine Fuchs (1995), la ambivalencia es una forma de transgresión que solo puede darse en el discurso, a diferencia de la ambigüedad que sería propia de la lengua. Las palabras “ambivalencia” y “ambigüedad” comparten la misma raíz latina ambo que significa “los dos, uno y otro” (RAE). Sin embargo, la primera parece tener un grado mayor de complejidad, ya que abarca fenómenos más heterogéneos y que no se pueden reducir a un único significado. Consecuencia inevitable de la indeterminación de la lengua o producto de la estrategia discursiva del locutor, unas “zonas turbias” (Le Goffic 1982: 83) se van generando y le incumbe al interlocutor desentrañarlas. Frente a un ideal de no equivocidad, tanto la ambivalencia como la ambigüedad pueden representar un peligro. El mayor riesgo de malentendido nos invita a cuestionar la dimensión ética del uso de estas formas dúplices.

Michel Ballard (1990:153) sostiene que “a primera vista, […]la ambigüedad es un problema que apasiona más a los lingüistas, especialistas de estilística y filósofos que a los traductólogos”. Con todo, no se puede excluir un enfoque traductológico, puesto que ante la ambigüedad, el traductor tiene necesariamente que tomar decisiones. Cuando es intencional, la ambigüedad tiene que mantenerse. Por lo contrario, los casos de ambigüedades fortuitas tienen que resolverse (Rydning 1998). Por otra parte, en la traducción automática, las herramientas actuales cada vez más eficaces consiguen generalmente evitar los casos de ambigüedad. Sin embargo, la etapa de revisión y de postedición sigue siendo indispensable en la mayoría de los casos.

Sin excluir enfoques esencialmente teóricos, este coloquio pretende someter los conceptos de ambivalencia y de ambigüedad a la prueba de los corpus con el fin de evaluar su alcance y sus límites en contexto. Por lo tanto, se tratará de acercarnos a los casos de dualidad interpretativa en unos corpus de estudio variados, orales o escritos. Estos podrán ser de distinta índole –publicidad, literatura, discurso político, prensa, comunicación mediada por ordenador, datos lexicográficos, etc.–, permitiendo de este modo una exploración amplia y transversal de estos fenómenos. Las lenguas de trabajo serán el español, el francés y el inglés, pero también se podrá aludir a otras lenguas o familias de lenguas.

Las propuestas podrán articularse, de manera indicativa y no limitativa, en torno a los distintos ejes evocados en esta convocatoria, y en particular:

  • Definiciones y efectos de la ambigüedad y de la ambivalencia, papel de la polisemia y del contexto; ¿en qué casos las relaciones entre el valor de un morfema y el contexto permiten definir condiciones favorables a una interpretación en términos de ambivalencia?
  • ¿La vaguedad referencial es necesariamente ambigua? Por ejemplo, en lo que toca a los problemas de delimitación del referente (pronombre de primera persona del plural en francés – Monte 2022–, omisión del pronombre sujeto en español, etc.).
  • ¿Cuáles son los efectos posibles del desdoblamiento de interpretaciones de un mismo enunciado, que pueden ser compatibles y acabar amalgamándose, o que resultan incompatibles, pero al mismo tiempo imposibles de disociar?
  • En el plano enunciativo, en el ámbito del discurso representado, ¿en qué condiciones las formas complejas de representación del discurso ajeno (Authiez-Revuz 2020) son fuentes de ambigüedad? A veces no se sabe quién habla, y las atribuciones del discurso a dos fuentes enunciativas diferentes son a veces incompatibles, y/o ambivalentes. La superposición de voces o de puntos de vista adoptados por los enunciados representados van formando parte de los recursos del locutor/enunciador primero (Germoni et Stolz 2019). ¿Y qué ocurre con la división entre narración, diálogos y pensamientos en la estructura narrativa global?
  • A la hora de traducir, ¿se puede evaluar siempre el carácter intencionado o fortuito de la ambigüedad? ¿Qué incidencia(s) puede tener la conservación o no de la ambigüedad y/o de la ambivalencia? Se podrá plantear asimismo la cuestión de los casos intraducibles o de los casos de fracaso de la traducción.

Envío de propuestas y calendario:

- las propuestas de comunicación anónimas (máximo de una o dos páginas, incluyendo el título, un resumen y unas referencias bibliográficas) deberán enviarse antes del 15 de enero de 2025 en formato Word y/o en PDF a la siguiente dirección:

Por favor, indique claramente el apellido y la institución a la que pertenece el autor (o los autores) en el cuerpo del correo electrónico.

- respuesta a los autores: antes del 30 de marzo de 2025.

- 27 y 28 de noviembre de 2025: coloquio en la Universidad de Tolón

Bibliographie indicative / Main references / Bibliografía indicativa:

AUTHIER-REVUZ, Jacqueline, 2020, La Représentation du Discours Autre, Berlin/Boston : De Gruyter.

BALLARD, Michel, 1990, « Ambigüité et traduction ». La traduction plurielle, Michel Ballard (dir.), Villeneuve d'Ascq : Presses universitaires du Septentrion, 153-174.

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BRES Jacques, 2003, « Mais oui, il était un joli temps du passé comme les autres, le petit imparfait hypocoristique » Langue française, 138, Temps et co(n)texte, sous la direction de Jacques Bres, 111-125.

BRISSET, Frédérique, COUSSY, Audrey, JENN, Ronald & LOISON-CHARLES, Julie (Dirs.), 2019, Du jeu dans la langue. Traduire le jeu de mots, Lille : Presses Universitaires du Septentrion.

CORMINBOEUF Gilles, 2014 (avec M.-J. Béguelin & L. A. Johnsen) éditeur du numéro thématique de Verbum XXXVI-1, Réanalyses, indétermination catégorielle et flou sémantique, 233 p.

Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales (CNRTL). https://www.cnrtl.fr/

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DE COLA-SEKALI, Martine, 1992, « Subordination temporelle et subordination subjective : quelques paramètres de mise en place des notions relationnelles de temps et de cause avec le connecteur polyvalent since. »   Travaux linguistiques du Cerlico 5. Subordination, subordinations. J. Chuquet et D. Roulland, éds. 130-157.

DE MATTIA-VIVIES, Monique, 2010, « Du discours rapporté mimétique aux formes intrinsèquement hybrides. » Anglophonia. French Journal of English Linguistics. 14 (28) : p.151‑180. Toulouse : PU du Mirail.

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