Dans ce crématorium bondé, trois générations d'unversitaires sont réunies..
Cette courte narration dure le temps d'une cérémonie de crémation rythmée en symphonie par le Concerto n°21 de Mozart.
L'auteur y évoque la dérive morale que subit l'université, elle aussi contaminée, semblet-il, par le neo-libéralisme ambiant, générateur d'un individualisme qui tend à s'affranchir de l'éthique traditionnelle de la vénérable institution, qui, accrochée à ses valeurs, résiste.