« Horas hay de recreación… ». Se divertir au Siècle d’or |
|
|||||
|
||||||
Appel à contributions « "Horas hay de recreación…". Se divertir au Siècle d’or » Colloque international — 19, 20 et 21 novembre 2025 C.R.I.S.O.L 16/17 (Centre de Recherches Interdisciplinaires sur le Siècle d’or et la Littérature des XVIe et XVIIe siècles) Université de Clermont-Auvergne / CELIS
Sí, que no siempre se está en los templos, no siempre se ocupan los oratorios, no siempre se asiste a los negocios, por calificados que sean. Horas hay de recreación, donde el afligido espíritu descanse. Para este efeto se plantan las alamedas, se buscan las fuentes, se allanan las cuestas y se cultivan con curiosidad los jardines. (Miguel de Cervantes, « Prólogo al lector », Novelas ejemplares, 1613) C’est la dialectique traditionnelle entre ocio et negocio, reprise entre autres dans La hora de todos y fortuna con seso de Francisco de Quevedo, que cette citation de Miguel de Cervantes ici mise en exergue nous invite à explorer, et, plus précisément, la façon dont le premier terme semble se définir à l’aune du second, par la négative (« no siempre… »). Comment occupait-on son temps libre au Siècle d’or, telle pourrait être la question essentielle de ce colloque organisé par le Centre de Recherches Interdisciplinaires sur le Siècle d’or et la Littérature des XVIe et XVIIe siècles (C.R.I.S.O.L 16-17) ? L’énumération cervantine offre moins, à strictement parler, une liste d’activités récréatives que l’évocation d’un cadre amène ô combien topique propice au repos. Mais c’est moins de se reposer et de chômer qu’il sera question lors de cette rencontre que de se divertir, à une époque antérieure à l’avènement de ce que Joffre Dumazedier et d’autres ont qualifié de « civilisation du loisir », il est vrai, mais où se dessine un mouvement progressif d’institutionnalisation du jeu, dans sa dimension spectaculaire en particulier (Barceló Hernando). À cette époque-là, la notion même de « temps libre », de temps infécond s’entend, est-elle pertinente, et fait-elle l’objet, sinon d’une théorisation, de considérations spécifiques de la part des écrivains et des penseurs ? La littérature des XVIe et XVIIe siècles n’invite–t-elle pas, à travers cette exaltation d’un délassement cultivé à l’image apaisante de l’art des jardins, à un nécessaire otium, à en croire Cicéron dans son De Officiis ? Cela revient-il à soulever la question de la dimension formative et pédagogique de tout loisir au Siècle d’or, comme appartenant à la notion de culture ? Ou, au contraire, considéré par ses détracteurs, l’ocio, serait-il assimilable à l’oisiveté, celle-là même qui rend suspects, par principe, los libros de entretenimiento et autres représentations théâtrales populaires ? Dans un cas comme dans l’autre, ce qui ne va pas de soi, c’est l’idée même que puisse exister un divertissement, plaisir éphémère, dont il ne restera rien. Que penser, en effet, de la déclaration de Fernando de Rojas, qui affirme avoir composé La Comedia de Calisto y Melibea pendant ses deux semaines de congés, congés qui n’en sont donc pas (« Assimesmo pensarían que no quinze días de vnas vacaciones, mientra mis socios en sus tierras, en acabarlo me detuuiesse, como es lo cierto », « El autor a un su amigo ») ? Si, selon le vieil adage, l’oisiveté est mère de tous les vices et qu’il convient de donner l’impression que l’on occupe son temps libre de façon opportune, et… productive, peut-il y avoir une gratuité des jeux, des fêtes et des loisirs ? Doit-on lire dans les termes recreación ou vacaciones une invitation paradoxale à travailler ou à œuvrer ? Ou bien une invitation à créer, rendue possible par l’apaisement de l’afligido espíritu, une invitation à se raconter quelque histoire plaisante pour égayer les repas et les pénibles voyages (Joan de Timoneda, El sobremesa y alivio de caminantes), à passer du bon temps à l’instar des scènes décrites par Alonso de Castillo Solórzano, par Zabaleta (El día de fiesta por la mañana y por la tarde) et par toute la tradition issue de la nouvelle italienne ? Existe-t-il, en somme, une posture plus moderne qui ferait simplement l’éloge du bien-être nécessaire procuré par l’activité ludique et le divertissement ? Quelles sont les approches critiques des notions de divertissement et de loisir au Siècle d’or ? La grande variété des loisirs représentés en littérature, dans les arts et dans les discours plus doctrinaux devrait permettre d’apporter une réponse nuancée. Outre les distinctions terminologiques qui s’imposent, essentielles car elles renvoient à des valeurs qui sont pour nous éloignées, il sera intéressant de se pencher sur l’émergence de nouveaux concepts et de nouvelles pratiques dès la Renaissance italienne, où se manifeste l’importance de l’exercice ou de l’« exercitation » pour le dire avec Michel de Montaigne (Essais, livre II, chapitre 6). Citons à ce propos la gymnastique, activité physique dont plusieurs traités espagnols se font l’écho, à commencer par le pionnier Libro del ejercicio corporal y de sus provechos du médecin andalou Cristóbal Méndez, qui vante les mérites de ce que l’on appellerait aujourd’hui le sport (Vigarello).
Axes suggérés — Approche sémantique : les termes recreación, diversión, ocio et autres parasynonymes et termes apparentés ne recouvrent pas la même réalité et ne peuvent être pris l’un pour l’autre. Cette mise au point terminologique, en même temps que conceptuelle, est la condition préalable à toute réflexion sur ce que sont les loisirs et les distractions au Siècle d’or. — Approche axiologique : traités moraux, spirituels, philosophiques, médicaux... — Une temporalité et une géographie des loisirs se font-elles jour ? Peut-on distinguer des temps dédiés et des espaces de prédilection (ombreux jardins pastoraux, obscurs tripots picaresques…) ? Existe-t-il une ligne de partage entre les jeux et les loisirs urbains et ceux qui se pratiquent à la campagne ou dans d’autres espaces naturels ? Y a-t-il une dichotomie entre les loisirs privés et les loisirs en société ? — Représentations artistiques et littéraires : les formes de loisirs potentielles s’avèrent riches et ressortissent à la culture (littérature, spectacles, etc.), aux sports ou aux activités ludico-formatives (chasse, danse, courses de chevaux et dressage équestre, tauromachie…), aux arts amateurs, aux jeux d’enfants, aux jeux de société… - Typologie des loisirs et dimension sociale selon les classes concernées : loisirs courtisans et loisirs du peuple, loisirs estudiantins. - Lien entre loisir et pédagogie (prodesse et delectare), distinction entre loisir utile et oisiveté. - Puissante relation entre l’otium et la création littéraire, depuis l’otium cicéronien, repris par Pétrarque et les humanistes. - Lien entre le théâtre et les loisirs…
Les propositions de 900 caractères maximum (soit environ 10 lignes maximum), pour des communications de 25 minutes environ, devront parvenir à François-Xavier Guerry (), Philippe Rabaté () et Morgane Kappès-Le Moing () avant le 31 janvier 2025.
Bibliographie indicative ÁLVAREZ DEL PALACIO, Álvaro, « La actividad físico-lúdica en el Siglo de Oro español », Apunts. Educación Física y Deportes, 42, 1997, 7-25. BARCELÓ HERNANDO, Alejandro, Proyecto de recuperación del Patrimonio Histórico Español del juego y del deporte, desde sus primeras manifestaciones hasta el primer tercio del siglo XIX, thèse doctorale sous la direction de Manuel Hernández Vázquez et Antonio Rivero Herráiz, Universidad de Alcalá, 2016. BARCELÓ HERNANDO, Alejandro, « Los juegos en el Siglo de Oro español y la herencia de sus espacios arquitectónicos », Athlos, 22, 2021, 59-83. BENNASSAR, Bartolomé, Historia de la tauromaquia. Una sociedad de espectáculo, Madrid, Pre-Textos, 2000. BORQUE DÍEZ, José María y SOCIEDAD ESTATAL PARA LA ACCIÓN CULTURAL EXTERIOR (SEACEX) (ed.), Teatro y fiesta del Siglo de Oro en tierras europeas de los Austrias [exposición, Real Alcázar de Sevilla, 11 de abril/22 de junio de 2003; Castillo Real de Varsovia, 30 de julio/6 de octubre de 2003], Madrid, SEACEX, 2003. DELEITOSO Y PIÑUELA, José, … También se divierte el pueblo, Madrid, Alianza Editorial, 1988. DUMAZEDIER, Joffre, Vers une civilisation du loisir ?, Paris, Seuil, 1962. FLORES ARROYUELO, Francisco J., Correr los toros en España (del monte a la plaza), Madrid, Biblioteca Nueva, 1999. GARCÍA GARCÍA, Bernardo José, El ocio en la España del Siglo de Oro, Madrid, Akal, 1999. GARCÍA SANTO-TOMÁS, Enrique (ed.), Materia crítica. Formas de ocio y de consumo en la cultura áurea, Pamplona/Madrid/Frankfurt am Main, Universidad de Navarra/Iberoamericana/Vervuert, 2009. GÓMEZ, Jesús, La literatura y el ocio en la sociedad cortesana del Siglo de Oro, Salamanca, Ediciones de la Universidad de Salamanca, 2021. GÓMEZ, Jesús, « Ocio literario y trabajo durante el Siglo de Oro », Studi Ispanici, 47, 2022, p. 75-91. HERNÁNDEZ VÁZQUEZ, Manuel y ARROYO PARRA, Matilde, El juego deportivo en la Edad Media, 2010. Museo del juego: http://museodeljuego.org/wp-content/uploads/contenidos_0000001382_docu1.pdf MORRÁS RUIZ-FALCÓ, María, « Un tópico ciceroniano en el debate sobre las armas y las letras », Actas do IV Congresso da Associação Hispânica de Literatura Medieval: (Lisboa, 1-5 Outubro 1991) / ed. Aires Augusto Nascimento y Cristina Almeida Ribeiro, vol. 4, 1993, p. 115-122. PUDDU, Raffaele, « Toros y cañas. Los juegos ecuestres en la España del Siglo de Oro », Revista de Estudios Taurinos, 24, 2008, 13-49. RAMOS SOSA, Rafael, « Fiestas sevillanas del siglo XVI: diversiones aristocráticas y regocijos populares », Laboratorio de Arte, 7, 1994, 41-50. STROSETZKI, Christoph, « Ocio, trabajo y juego. Aspectos de su valoración en algunos tratados del Siglo de Oro », Actas del IV Congreso Internacional de la Asociación Internacional Siglo de Oro (AISO) (Alcalá de Henares, 22-27 de julio de 1996), ed. María Cruz de Enterría y Alicia Cordón Mesa, vol. 2, Alcalá de Henares, Editorial Universidad de Alcalá, 1998, p. 1547-1554. VIGARELLO, Georges, Passion sport. Histoire d’une culture, Paris, Éditions Textuel, 2000. VIGARELLO, Georges, Du jeu ancien au show sportif. La naissance d'un mythe, Paris, Seuil, 2002.
Comité d’organisation Frédéric Alchalabi (Nantes Université) Rafaèle Audoubert Moreno (Université Jean Monnet) Cécile Bertin Elisabeth (Université de Limoges) Isabelle Bouchiba (Université Bordeaux Montaigne) Nathalie Dartai Maranzana (Université Lumière Lyon 2) Florence Dumora (Le Mans Université) François-Xavier Guerry (Université Clermont Auvergne) Morgane Kappès-Le Moing (Université Jean Monnet) Marie-Eugénie Kaufmant (Université de Caen) Fernando Pancorbo (Université de Bâle) Philippe Rabaté (Université Paris Nanterre) Florence Toucheron (Université Littoral Côte d’Opale).
Comité scientifique Rafael Bonilla (Universidad de Córdoba, Espagne) Anne Cayuela (Université de Grenoble, France) Fernando Copello (Le Mans Université, France) Ruth Fine (Hebrew Univestity of Jerusalem, Israël) Béatrice Pérez (Sorbonne Université, France) Antonio Sánchez Jiménez (Université de Neuchâtel, Suisse) María Stoopen (Universidad Nacional Autónoma de México, Mexique) Christoph Strosetzki (Universität Münster, Allemagne)
********
Convocatoria « "Horas hay de recreación…". Divertirse en el Siglo de Oro » Coloquio internacional — 19, 20 y 21 de noviembre de 2025 C.R.I.S.O.L 16/17 (Centre de Recherches Interdisciplinaires sur le Siècle d’or et la Littérature des XVIe et XVIIe siècles) Université de Clermont-Auvergne / CELIS
«Sí, que no siempre se está en los templos, no siempre se ocupan los oratorios, no siempre se asiste a los negocios, por calificados que sean. Horas hay de recreación, donde el afligido espíritu descanse. Para este efeto se plantan las alamedas, se buscan las fuentes, se allanan las cuestas y se cultivan con curiosidad los jardines.» (Miguel de Cervantes, “Prólogo al lector”, Novelas ejemplares, 1613) La cita de Miguel de Cervantes que aquí aparece como epígrafe nos invita a explorar la dialéctica tradicional entre ocio y negocio, retomada entre otros por Francisco de Quevedo en La hora de todos y fortuna con seso. Es interesante notar de qué modo el primer término se define en función del segundo, y a través de la negativa (“no siempre…”). ¿Cómo ocupaba la gente su tiempo libre en el Siglo de Oro? Tal podría ser la interrogación esencial de este coloquio organizado por el Centre de Recherches sur le Siècle d’or et la littérature des XVIe et XVIIe siècles. La enumeración cervantina muestra menos, hablando con propiedad, una lista de actividades recreativas que la referencia a un típico marco ameno propicio al reposo. Pero no se trata tanto, en el caso de este encuentro científico, del hecho de descansar y estarse quieto, como del distraerse, en una época anterior a lo que Joffre Dumazedier y otros han calificado como de “civilización del ocio”, en lo que se va definiendo como un momento progresivo de institucionalización del juego, particularmente en su dimensión de espectáculo (Barceló Hernando). Podemos preguntarnos si en aquella época la noción misma de “tiempo libre”, de espacio de tiempo infecundo, es pertinente y lleva acaso aunque no sea a una teorización, sí al menos a consideraciones específicas por parte de los escritores y pensadores. ¿No nos invita acaso la literatura de los siglos XVI y XVII a través de esa exaltación de un relajamiento culto como lo es la imagen tranquilizadora del arte de los jardines, a un otium necesario, si seguimos lo que nos dice Cicerón en su De Officiis? ¿Lleva esto a cuestionar la dimensión formadora y pedagógica de todo ocio en el Siglo de Oro, como perteneciente a la noción de cultura? ¿O, por el contrario, considerado así por sus detractores, el ocio estaría asimilado a la holgazanería, esa misma que vuelve sospechosos, por una cuestión de principios, los “libros de entretenimiento” y también las representaciones teatrales populares? Tanto en un caso como en el otro, lo que no resulta obvio es la idea misma de que pueda existir una diversión, un placer efímero, del que no resulte nada. ¿Qué pensar, en efecto, de la declaración de Fernando de Rojas, quien afirma haber compuesto La Comedia de Calisto y Melibea durante sus dos semanas de reposo, reposo que entonces en realidad no lo es (“Assimesmo pensarían que no quinze días de unas vacaciones, mientra mis socios en sus tierras, en acabarlo me detuuiesse, como es lo cierto”, “El autor a un su amigo”)? Si, según el viejo adagio, la ociosidad es la madre de todos los vicios y que conviene dar la impresión de que uno ocupa su tiempo libre de manera oportuna, y…productiva, ¿puede entonces haber juegos, fiestas y ocios desinteresados y sin utilidad? ¿Debemos entender en el caso de los términos recreación o vacaciones una paradójica invitación a trabajar y a obrar? O bien una invitación a crear, posibilitada por un apaciguamiento del afligido espíritu, una invitación a contarse historias agradables para entretener las comidas y los viajes penosos (Joan Timoneda, El sobremesa y alivio de caminantes), o pasar buenos momentos como en las escenas descriptas por Alonso de Castillo Solórzano, por Juan de Zabaleta (El día de fiesta por la mañana y por la tarde) y por toda la tradición heredera de la novella italiana? ¿Existe, en suma, una postura más moderna que simplemente elogie el bienestar necesario procurado por la actividad lúdica y la diversión? ¿Cuáles son los enfoques críticos con respecto a las nociones de diversión y de ocio en el Siglo de Oro? La gran variedad de ocios representados en la literatura, las artes y los discursos propiamente doctrinales debería permitirnos aportar una respuesta matizada. Además de las distinciones terminológicas que se imponen, esenciales porque remiten a valores lejanos para nosotros, será interesante examinar la emergencia de nuevos conceptos y nuevas prácticas a partir del Renacimiento italiano, donde se manifiesta la importancia del ejercicio o de la exercitation por decirlo con palabras de Michel de Montaigne (Ensayos, Libro II, capítulo 6). Citemos en este sentido el caso de la gimnasia, actividad física que halla eco en numerosos tratados españoles, empezando por el pionero Libro del ejercicio corporal y de sus provechos del médico andaluz Cristóbal Méndez, quien alaba los méritos de lo que hoy llamaríamos deporte (Vigarello).
Ejes sugeridos Enfoque semántico: los términos recreación, diversión, ocio y otros parasinónimos y términos cercanos no remiten a la misma realidad y no son intercambiables. Esta aclaración terminológica, y a la vez conceptual, es la condición necesaria anterior a toda reflexión sobre lo que significan los diferentes ocios y distracciones del Siglo de Oro. Enfoque axiológico: tratados morales, espirituales, filosóficos, médicos… ¿Existen una geografía y una temporalidad de los tipos de ocio? ¿Podemos distinguir unos tiempos propios y unos espacios de predilección (sombríos jardines pastoriles, oscuras casas de juego picarescas…)? ¿Hay una línea de separación entre los juegos y los ocios urbanos y los que se practican en el campo o en otros espacios naturales? ¿Existe una dicotomía entre los ocios privados y los ocios que se practican en sociedad? Representaciones artísticas y literarias: las formas posibles de ocio son muchas y aparecen en la cultura (literatura, espectáculos, etc.), en los deportes o actividades lúdico-formativas (caza, danza, carreras de caballo, doma ecuestre, tauromaquia…), artes aficionados, juegos de niños, juegos de sociedad… - Tipología de los diferentes ocios y dimensión social según las capas sociales: ocios cortesanos y ocios populares, ocios estudiantiles. - Relación entre ocio y pedagogía (prodesse et delectare), distinción entre ocio útil y ociosidad. - Importante relación entre el otium y la creación literaria, desde el concepto de otium ciceroniano, retomado por Petrarca y los humanistas. - Relación entre el teatro y el ocio…
Las proposiciones de 900 caracteres como máximo (o sea una diez líneas como máximo), para unas ponencias de alrededor de 25 minutos, deben enviarse a François-Xavier Guerry (), Philippe Rabaté () et Morgane Kappès-Le Moing () antes del 31 de enero de 2025.
Bibliografía indicativa
ÁLVAREZ DEL PALACIO, Álvaro, « La actividad físico-lúdica en el Siglo de Oro español », Apunts. Educación Física y Deportes, 42, 1997, 7-25. BARCELÓ HERNANDO, Alejandro, Proyecto de recuperación del Patrimonio Histórico Español del juego y del deporte, desde sus primeras manifestaciones hasta el primer tercio del siglo XIX, thèse doctorale sous la direction de Manuel Hernández Vázquez et Antonio Rivero Herráiz, Universidad de Alcalá, 2016. BARCELÓ HERNANDO, Alejandro, « Los juegos en el Siglo de Oro español y la herencia de sus espacios arquitectónicos », Athlos, 22, 2021, 59-83. BENNASSAR, Bartolomé, Historia de la tauromaquia. Una sociedad de espectáculo, Madrid, Pre-Textos, 2000. BORQUE DÍEZ, José María y SOCIEDAD ESTATAL PARA LA ACCIÓN CULTURAL EXTERIOR (SEACEX) (ed.), Teatro y fiesta del Siglo de Oro en tierras europeas de los Austrias [exposición, Real Alcázar de Sevilla, 11 de abril/22 de junio de 2003; Castillo Real de Varsovia, 30 de julio/6 de octubre de 2003], Madrid, SEACEX, 2003. DELEITOSO Y PIÑUELA, José, … También se divierte el pueblo, Madrid, Alianza Editorial, 1988. DUMAZEDIER, Joffre, Vers une civilisation du loisir ?, Paris, Seuil, 1962. FLORES ARROYUELO, Francisco J., Correr los toros en España (del monte a la plaza), Madrid, Biblioteca Nueva, 1999. GARCÍA GARCÍA, Bernardo José, El ocio en la España del Siglo de Oro, Madrid, Akal, 1999. GARCÍA SANTO-TOMÁS, Enrique (ed.), Materia crítica. Formas de ocio y de consumo en la cultura áurea, Pamplona/Madrid/Frankfurt am Main, Universidad de Navarra/Iberoamericana/Vervuert, 2009. GÓMEZ, Jesús, La literatura y el ocio en la sociedad cortesana del Siglo de Oro, Salamanca, Ediciones de la Universidad de Salamanca, 2021. GÓMEZ, Jesús, « Ocio literario y trabajo durante el Siglo de Oro », Studi Ispanici, 47, 2022, p. 75-91. HERNÁNDEZ VÁZQUEZ, Manuel y ARROYO PARRA, Matilde, El juego deportivo en la Edad Media, 2010. Museo del juego: http://museodeljuego.org/wp-content/uploads/contenidos_0000001382_docu1.pdf MORRÁS RUIZ-FALCÓ, María, « Un tópico ciceroniano en el debate sobre las armas y las letras », Actas do IV Congresso da Associação Hispânica de Literatura Medieval: (Lisboa, 1-5 Outubro 1991) / ed. Aires Augusto Nascimento y Cristina Almeida Ribeiro, vol. 4, 1993, p. 115-122. PUDDU, Raffaele, « Toros y cañas. Los juegos ecuestres en la España del Siglo de Oro », Revista de Estudios Taurinos, 24, 2008, 13-49. RAMOS SOSA, Rafael, « Fiestas sevillanas del siglo XVI: diversiones aristocráticas y regocijos populares », Laboratorio de Arte, 7, 1994, 41-50. STROSETZKI, Christoph, « Ocio, trabajo y juego. Aspectos de su valoración en algunos tratados del Siglo de Oro », Actas del IV Congreso Internacional de la Asociación Internacional Siglo de Oro (AISO) (Alcalá de Henares, 22-27 de julio de 1996), ed. María Cruz de Enterría y Alicia Cordón Mesa, vol. 2, Alcalá de Henares, Editorial Universidad de Alcalá, 1998, p. 1547-1554. VIGARELLO, Georges, Passion sport. Histoire d’une culture, Paris, Éditions Textuel, 2000. VIGARELLO, Georges, Du jeu ancien au show sportif. La naissance d'un mythe, Paris, Seuil, 2002.
Comité de organización Frédéric Alchalabi (Nantes Université) Rafaèle Audoubert Moreno (Université Jean Monnet) Cécile Bertin Elisabeth (Université de Limoges) Isabelle Bouchiba (Université Bordeaux Montaigne) Nathalie Dartai Maranzana (Université Lumière Lyon 2) Florence Dumora (Le Mans Université) François-Xavier Guerry (Université Clermont Auvergne) Morgane Kappès-Le Moing (Université Jean Monnet) Marie-Eugénie Kaufmant (Université de Caen) Fernando Pancorbo (Université de Bâle) Philippe Rabaté (Université Paris Nanterre) Florence Toucheron (Université Littoral Côte d’Opale)
Comité científico Rafael Bonilla (Universidad de Córdoba, España) Anne Cayuela (Université de Grenoble, Francia) Fernando Copello (Le Mans Université, Francia) Ruth Fine (Hebrew Univestity of Jerusalem, Israel) Béatrice Pérez (Sorbonne Université, Francia) Antonio Sánchez Jiménez (Université de Neuchâtel, Suiza) María Stoopen (Universidad Nacional Autónoma de México) Christoph Strosetzki (Universität Münster, Alemania)
|
||||||
Lieu Université Clermont Auvergne (Clermont-Ferrand) | ||||||
Contact | ||||||