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La fiction et ses variantes : micro-fiction et bio-fiction Télécharger au format iCal
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CRLA — ARCHIVOS, UNIVERSITÉ DE POITIERS

 

Appel à contribution revue Escritural (CRLA-Archivos, Université de Poitiers)

Dossier 

La fiction et ses variantes: micro-fiction et bio-fiction en Amérique Latine

 

Imitation par le langage, le texte fictionnel dévoile dans sa composition même son intention mimétique, c’est-à-dire, son effort de particulariser ou individualiser le monde représenté afin de lui donner l’apparence du réel dans l’espace littéraire. Sans aucun engagement avec le vrai ou le faux, la fiction projette des moments transfigurés de la réalité empirique, ce qui la rend représentative au-delà d’elle-même et, surtout, au-delà de la réalité empirique, d’après le critique brésilien Antonio Cândido. Les différents genres de la fiction entretiennent des rapports au réel en énonçant chacun ses propres critères selon l’espace et le temps de la société à laquelle ils appartiennent.  

Partageant le statut ontologique de la fiction, la bio-fiction et la micro-fiction semblent occuper une partie non négligeable de l’écriture moderne et en particulier en Amérique Latine, espace d’échanges, d’interaction de cultures et de traditions, mais aussi de contrastes, de différences et de mondialisation. Dans des sociétés fragmentées en une mosaïque à la fois multiculturelle et transitoire, le sujet se sent capable de rompre avec les sujétions, appartenances, héritages ou traditions fidèles à une communauté ou collectivité et, plutôt que de se fixer dans une origine fixe, affiche un désir à la fois de se déterritorialiser et de se démarquer du collectif afin de se replier sur soi. Ainsi, l’étude de la construction d’un discours identitaire s’avère clé pour la définition de la spécificité des genres non-canoniques tels que la bio-fiction et la micro-fiction en Amérique latine.

La bio-fiction est au cœur de ce mouvement du « nous » vers le « soi » propre à ces sociétés fragmentaires. La mise en place du sujet est ce qui caractérise ce mode d’écriture dans lequel les diverses possibilités de l’identité en état de construction sont explorées : individuelle, collective, imaginaire, imagée…Les interrogations identitaires ou les réflexions intérieures du sujet le singularisent en tant que personnage et, par conséquent, approfondissent la dimension imaginaire de la fiction, dévoilant encore plus son intention mimétique. En outre, le récit fictif de la vie du personnage imaginaire ou de la vie imaginaire du personnage le situe à la frontière entre biographie et fiction et porte une complicité plus intense avec la réalité empirique extérieure à l’œuvre ; les références directes ou indirectes à des faits du réel sont présentes, mais transfigurées par l’énergie de l’imagination et du langage poétique de la fiction. C’est donc cet espace interstitiel qui rend compte de transformer ou donner une expression plus « vraie », plus définitive et plus absolue à la narration biographique.             

Traduisant des nouvelles formes d’explorer l’espace de l’écriture cybernétique, la micro-fiction rend possible la réécriture des distances culturelles, spatiales et temporelles d’une génération nomade qui se refuse de s’établir et d’appartenir à une racine identitaire figée. En tant que narrative expérimentale et fragmentaire, la micro-fiction transgresse les stratégies légitimées par l’écriture moderne et s’avère propice à l’épanouissement du sujet éphémère souhaitant rompre avec des codes et franchir des espaces consolidés. Si l’intemporalité s’avère une pièce clé dans ce type de récits, la capture de l’instantané, du fugace, fait également partie de l’effet esthétique provoqué chez le lecteur qui perçoit le texte non pas comme un extrait, mais comme un tout autosuffisant. Par ailleurs, la micro-fiction propose à partir de sa brièveté, une complicité entre le lecteur et l’écrivain qui va au-delà du patrimoine culturel partagé et s’étend jusqu’à l’aspect ontologique de la fiction. Ainsi, les micro-fictions puisent leur efficacité dans l’intemporalité de ce qui est narré : « elles prétendent avoir été créées depuis l’éternité du rêve » (Rodolfo Fogwill, «Los cuentos breves y extraordinarios de Ana María Shua: cincuenta visiones del prostíbulo.» Clarín, 20/05/ 1993).

Nous concevons la brièveté temporelle et spatiale ainsi que l’individualisation et la discontinuité du sujet moderne comme des caractéristiques formelles de la micro-fiction et de la bio-fiction, respectivement. Ces propriétés majeures se voient renforcées par des aspects thématiques ponctuels comme la métafiction et l’intertextualité qui enrichissent les lectures possibles tout en exploitant/explorant le concept du palimpseste. De ce fait, les croisements entre le réel et la fiction, le cinéma, la photographie, la littérature, mais également la logique cybernétique, hybrident ces deux genres et les dispersent, en faisant de ces disséminations l’une de ses principales caractéristiques.

 

Nous proposons les axes de réflexion suivants :

  • Hybridation générique et fragmentation du récit : de la mini-fiction à la bio-fiction et vice-versa.
  • Diastole et systole de la narration : l’espace-temps dans le genre micro-fictionnel.
  • Le statut du personnage dans les nouveaux genres fictionnels.
  • L’effet de fiction dans la micro-fiction et la bio-fiction.
  • Lire/écrire la micro-fiction : métafiction et hypertextualité dans la micro-fiction.
  • La bio-fiction : l’urgence de parler de soi.
  • Le rapport au réel dans la micro-fiction et dans la bio-fiction.

 

Envoi des articles et information : 

Les intéressés devront envoyer le résumé de leur communication (200 mots max.) par courrier électronique à l’adresse suivante : 

Le résumé devra préciser : nom et prénom de l'auteur, statut (étudiant/Maître de Conférence, Professeur, etc.), université d'origine, adresse professionnelle et courrier électronique.

Les articles retenus par le comité de lecture feront partie d’un dossier dédié à la micro-fiction et à la bio-fiction qui paraîtra dans la version digitalisée de la revue Escritural (CRLA-Archivos). 

 

Dates importantes:  

-Résumé de l’article : 01 octobre 2016

-Acceptation de la proposition : 15 octobre 2016

-Envoi des articles pour la publication : 15 janvier 2017

  

Comité organisateur:   

Abadie, Maité (Benemérita Universidad Autónoma de Puebla/ CRLA-Archivos, Université de Poitiers) 

Bernabei, Veronica (CRLA-Archivos, Université de Poitiers) 

Botaro, Mirella do Carmo (CRLA-Archivos, Université de Poitiers) 

Carrera, Elodie (CECILLE, Université de Lille) 

Eckstein, Daniele Fernanda (CRLA-Archivos, Université de Poitiers) 

Porcheron, Sarah (CRLA-Archivos, Université de Poitiers) 

 

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CRLA

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ARCHIVOS, UNIVERSITÉ DE POITIERS

 

Llamado a artículos revista Escritural (CRLA-Archivos, Université de Poitiers)

 

Dossier 

La ficción y sus variantes: micro-ficción y bio-ficción en América Latina

Imitación a través del lenguaje, el texto ficcional desvela en su composición misma su intención mimética, es decir, su esfuerzo por particularizar e individualizar el mundo representado con el fin de darle las apariencias de la realidad dentro del espacio literario. Sin comprometerse con lo falso o lo verdadero, la ficción proyecta momentos transfigurados de la realidad empírica, lo que la hace representativa más allá de sí misma y, sobre todo, más allá de la realidad empírica, según el crítico brasileño Antonio Cándido. Los diferentes géneros de la ficción se relacionan con la realidad mediante criterios propios según el espacio y el tiempo de la sociedad a la que pertenecen.

La bio-ficción y la micro-ficción comparten el mismo estatus ontológico que la ficción y parecen ocupar un lugar no desdeñable en la escritura moderna, y eso más particularmente en América latina, espacio de intercambios, de interacciones de culturas y de tradiciones, pero también de contrastes, de diferencias y de globalización. En unas sociedades fragmentadas en un mosaico a la vez multicultural y transitorio, el sujeto se siente capaz de romper con las sujeciones, las pertenencias, las herencias o las tradiciones fieles a una comunidad o a una colectividad y, en vez de fijarse en un origen único, expresa el deseo de desterritorializarse y de distinguirse del colectivo con el fin de ensimismarse. Por consiguiente, el estudio de la construcción de un discurso de identidad resulta ser clave para la definición de la especificidad de los géneros no canónicos como la bio-ficción y la micro-ficción en América latina.

La bio-ficción está en el centro del movimiento que va del “nosotros” al “yo” propio de las sociedades fragmentadas. Lo que caracteriza este tipo de escritura que explora las distintas posibilidades de la identidad en construcción –individual, colectiva, imaginaria…– es la ubicación del sujeto. Las interrogaciones sobre la identidad o las reflexiones interiores del sujeto lo singularizan como personaje y, por consiguiente, profundizan la dimensión imaginaria de la ficción, desvelando todavía más su intención mimética. Además, el relato ficticio de la vida de un personaje imaginario o de la vida imaginaria del personaje lo sitúan en la frontera entre biografía y ficción, y conllevan una complicidad más intensa con la realidad empírica exterior a la obra; las referencias directas o indirectas a hechos que remiten a lo real están presentes, pero transfigurados por la energía de la imaginación y del lenguaje poético de la ficción. están presentes, pero transfigurados por la energía de la imaginación y del lenguaje poético de la ficción. Es este espacio intersticial el que se ocupa de transformar o dar una expresión más “verdadera”, más definitiva y más absoluta a la narración biográfica.

Traduciendo nuevas formas de explorar el espacio de la escritura cibernética, la micro-ficción hace posible la reescritura de las distancias culturales, espaciales y temporales de una generación nómada que rehúsa anclarse y pertenecer a una raíz única. En tanto narrativa experimental y fragmentaria, la micro-ficción transgrede las estrategias legitimadas por la escritura moderna y propicia el nacer de un sujeto efímero que desea romper con los códigos, y que quiere traspasar los espacios consolidados. Si lo atemporal resulta una pieza clave en estos relatos, la captura de lo instantáneo, de lo fugaz, forma también parte del efecto estético provocado en el lector que percibe el texto no como un fragmento, sino como un todo autosuficiente. Este género propone desde su brevedad, una complicidad entre el escritor y el lector que traspasa el acervo cultural compartido. De este modo, las microficciones encuentran su eficacia en la atemporalidad de lo narrado, “cuanto mejor simulan haber sido creadas desde la eternidad del sueño” (Rodolfo Fogwill, «Los cuentos breves y extraordinarios de Ana María Shua: cincuenta visiones del prostíbulo.» Clarín, 20/05/ 1993).

Concebimos la brevedad temporal y espacial y la individualización y la discontinuidad del sujeto moderno como características formales de la micro-ficción y de la bio-ficción respectivamente. Estas propiedades se ven reforzadas por aspectos temáticos puntuales como la metaficción y la intertextualidad que enriquecen las lecturas posibles explotando/explorando el concepto de palimpsesto. De esta manera, los cruces entre el cine, la fotografía, la literatura, pero también (y sobre todo) la lógica cibernética, hibridan estos dos géneros y los desperdigan, haciendo de esta diseminación, una de sus características principales. 

 

Proponemos los siguientes ejes de estudio:

  • Hibridación genérica y fragmentación del relato: de la mini-ficción a la bio-ficción y vice-versa.
  • Diástole y sístole de la narración: el espacio-tiempo en el género microficcional.
  • El estatus del personaje en los nuevos géneros ficcionales.
  • El efecto de ficción en la micro-ficción y en la bio-ficción.
  • Leer/escribir micro-ficción: metaficción e hipertextualidad en la micro-ficción.
  • La bio-ficción: la urgencia de hablar de sí mismo.
  • La relación con lo real en la micro-ficción y en la bio-ficción.

Envío de artículos e información: 

Los interesados deberán enviar el título y la sumilla de la ponencia en español, portugués o francés (extensión máxima de 200 palabras) al correo electrónico siguiente: 

El resumen deberá precisar: nombre y apellido del autor, estatus (estudiante/Profesor…), la universidad de origen, la dirección profesional y el correo electrónico. 

Los artículos retenidos por el comité de lectura formaran parte de un dossier dedicado a la micro-ficción y a la bio-ficción. El mismo aparecerá en la versión digital de la revista Escritural (CRLA-Archivos). 

 

Fechas importantes: 

·  Envío del resumen y título del artículo: 01 de octubre de 2016.

·  Aceptación del artículo: 15 de octubre de 2016.

·  Envío de artículos para su publicación: 15 de enero de 2017.

 

Comité organizador:   

Abadie, Maité (Benemérita Universidad Autónoma de Puebla/ CRLA-Archivos, Université de Poitiers) 

Bernabei, Veronica (CRLA-Archivos, Université de Poitiers) 

Botaro, Mirella do Carmo (CRLA-Archivos, Université de Poitiers) 

Carrera, Elodie (CECILLE, Université de Lille) 

Eckstein, Daniele Fernanda (CRLA-Archivos, Université de Poitiers) 

Porcheron, Sarah (CRLA-Archivos, Université de Poitiers) 

 

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CRLA

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ARCHIVOS, UNIVERSITÉ DE POITIERS

 

Chamada de contribuições para a revista Escritural (CRLA-Archivos, Universidade de Poitiers)

 

Dossier

A ficção e suas variantes: micro-ficção e bio-ficção na América Latina

Imitando a linguagem, o texto ficcional revela em sua própria composição a sua intenção mimética, ou seja, revela o seu esforço de particularizar ou individualizar a representação do mundo, a fim de lhe dar a aparência do real. Sem nenhum comprometimento com o que é verdadeiro ou falso, a ficção projeta momentos transfigurados da realidade empírica, tornando-a representativa para além dela mesma e, sobretudo, para além da realidade empírica, segundo o crítico brasileiro Antonio Cândido. Os diferentes gêneros da ficção estabelecem uma ligação com o real, cada um a seu modo, criando os próprios critérios de espaço e de tempo vinculados à sociedade à qual pertencem.

Compartilhando o status ontológico da ficção, a micro-ficção e a bio-ficção parecem ocupar uma parte, de forma alguma  negligenciável, da escrita moderna e em particular na América Latina, espaço de tradição, de trocas e de interação entre culturas, mas também de contrastes, de diferenças e de globalização. Nestas sociedades fragmentadas em mosaico por vezes multicultural e transitório, o sujeito sente-se capaz de romper com sujeições, pertencimentos, heranças e tradições de uma comunidade ou coletividade e, ao invés de fixar-se em uma origem única, manifesta  o desejo de desterritorializar-se e de diferenciar-se do coletivo para fechar-se em si mesmo. Desta forma, o estudo da construção de um discurso identitário revela-se essencial para a definição da especificidade dos gêneros não-canônicos na América Latina, tais como a bio-ficção e a micro-ficção.   

A bio-ficção está no cerne deste movimento do « nós » versus o « eu » inerente a estas sociedades fragmentárias. O que caracteriza este modo de escrita é a centralização no sujeito, em que são exploradas as diversas possibilidades de identidade em construção: individual, coletiva, imaginária, imaginada… As questões sobre a identidade ou as reflexões pessoais do sujeito o singularizam enquanto personagem e, consequentemente, aprofundam a dimensão imaginária da ficção, revelando ainda mais a sua intenção mimética. Além disso, o enredo ficcional da vida do personagem imaginário ou da vida imaginária do personagem situa-se na fronteira entre a biografia e a ficção, criando uma cumplicidade mais intensa com a realidade empírica exterior à obra; as referências diretas ou indiretas aos fatos reais estão presentes, mas aparecem transfiguradas pela imaginação e pela linguagem poética da ficção. Assim, este espaço intersticial permite transformar ou dar uma expressão mais « verdadeira »,  mais definitiva e mais absoluta à narrativa biográfica.

Traduzindo novas formas de explorar o espaço da escrita cibernética, a micro-ficção torna possível a reescrita das distâncias culturais, espaciais e temporais de uma geração nômade que recusa estabelecer-se e pertencer a uma raiz identitária única. Enquanto narrativa experimental e fragmentária, a micro-ficção infringe estratégias legitimadas pela escrita moderna, além de propiciar o surgimento de um sujeito efêmero que deseja romper com os códigos e transpassar os espaços consolidados. Se o intemporal revela-se a peça-chave neste tipo de narrativa, da mesma forma, a captura do instantâneo e do fugaz faz parte do efeito estético provocado no leitor que percebe o texto não como um trecho, mas como um todo autossuficiente. Por outro lado, a micro-ficção propõe, a partir de sua brevidade, uma cumplicidade entre o leitor e o escritor, que vai além do patrimônio cultural partilhado e se estende ao aspecto ontológico da ficção. Deste modo, a eficácia da micro-ficção se encontra na atemporalidade do que é narrado: “[...] quanto melhor simulam terem sido criadas a partir da eternidade do sonho” (Rodolfo Fogwill, «Los cuentos breves y extraordinarios de Ana María Shua: cincuenta visiones del prostíbulo.»Clarín, 20/05/ 1993).

Nós concebemos a brevidade temporal e espacial, bem como a individualização e a descontinuidade do sujeito moderno como duas das principais características formais da micro-ficção e da bio-ficção, respectivamente. No entanto, estas propriedades se veem reforçadas por categorias pontuais, como a meta-ficção e a intertextualidade, que enriquecem as leituras possíveis, explorando o conceito de palimpsesto. Desta forma, os cruzamentos entre o real e a ficção, o cinema, a fotografia, a literatura, mas igualmente (e sobretudo) a lógica cibernética, hibridizam estes dois gêneros e os dispersam, fazendo desta disseminação uma de suas principais características.

 

Nós propomos as seguintes linhas de pesquisa:

  • Hibridação de gêneros e fragmentação da narrativa : da micro-ficção à bio-ficção e vise-versa.
  • Diástole e sístole da narração: o espaço-tempo no gênero micro ficcional.
  • O status do personagem nos novos gêneros ficcionais.
  • O efeito de ficção na micro-ficção e na bio-ficção.
  • Ler/Escrever a micro-ficção : metaficção e hipertextualidade na micro-ficção.
  • A bio-ficção : urgência de falar de si.
  • O real na micro-ficção e na bio-ficção.

 

 Envio de artigos e informações: 

 

Les articles retenus par le comité de lecture feront partie d’un dossier dédié à la micro-fiction et à la bio-fiction qui paraîtra dans la version digitalisée de la revue Escritural (CRLA-Archivos). 

Os interessados deverão enviar o resumo da sua comunicação (200 palavras no máximo) para o seguinte endereço eletrônico : 

O resumo deverá conter : nome e sobrenome do autor, estatudo ( estudante, professor, etc.), Universidade de origem, endereço profissional e endereço eletrônico. 

Os artigos aceitos pelo comitê de leitura farão parte de um dossiê dedicado à micro-ficção e à bio-ficção que aparecerão na versão digitalizada da revista Escritual (CRLA-Archivos).

 

Datas importantes:  

  • Resumo da comunicação: 01 de outubro de 2016.
  • Aceitação da proposta: 15 de outubro de 2016.
  • Envio do artigo para publicação: 15 de janeiro de 2017.

 

Comitê de organização:
Abadie, Maité  (Benemérita Universidade Autônoma de Puebla / CRLA-Archivos, Universidade de Poitiers) 
Bernabei, Veronica (CRLA-Archivos, Universidade de Poitiers)

Botaro, Mirella do Carmo (CRLA-Archivos, Universidade de Poitiers) 

Carrera, Elodie (CECILLE, Universidade de Lille) 

Eckstein, Daniele Fernanda (CRLA-Archivos, Universidade de Poitiers) 
Porcheron, Sarah (CRLA-Archivos, Universidade de Poitiers) 

Lieu CRLA — ARCHIVOS, UNIVERSITÉ DE POITIERS
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